Et toujours me revenait le sentiment d’avoir encore
laissé échapper l’indispensable qui était pourtant à portée.
(André Frénaud)
Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
Et toujours me revenait le sentiment d’avoir encore
laissé échapper l’indispensable qui était pourtant à portée.
(André Frénaud)
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Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
Ils iront travailler sur les boulevards
Aucun ne verra la beauté du jour
et le soir arrive – ils sont dans le métro…
La lune n’aura pas de mal à les endormir.
(André Frénaud)
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Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
Les grands arbres cachent un sein d’aubépine,
le plus tendre de tous les seins de la terre.
Le ciel qui cligne et qui sourit
apprend aux oiseaux des chansons d’arc-en-ciel.
Clairière loyale où joue le joli mai,
verdures rougissantes sur la jeune fille étendue,
Île-de-France parmi les domaines forestiers,
je boirai mon héritage dans les rivières
qui vont et qui viennent.
(André Frénaud)
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Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
Mes possessions sont trop claires je les hais
ces limites des joies et du malheur.
(André Frénaud)
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Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
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Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
La plus folle aura ma vie.
Nous la boirons en chantant,
sur les fleuves à l’air du soir,
celles d’avant n’avaient pas su.
Le désert, ma patrie, passe
en hurlant, je n’entends plus.
L’amour est un philtre, il m’entraîne.
Tes seins dans mes yeux, qu’importe,
je vois monter l’onde et me livre.
(André Frénaud)
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Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
Nous tâtonnons à l’aigu du néant
Qui seul nous comble
notre père fruitier.
(André Frénaud)
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Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
Tant de gens ont vécu là qui aimaient
l’amour le réveil et enlever la poussière
(André Frénaud)
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Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
Egarés dans les moires du temps, les durs méandres
qu’anime le sourire de l’Enfant,
chevaliers à la poursuite de la fuyante naissance
du futur qui nous guide comme un toucheur de boeuf,
je maudis l’aventure, je voudrais retourner
vers la maison et le platane
pour boire l’eau de mon puits que ne trouble pas la lune,
et m’accomplir sur mes terrasses toujours égales,
dans la fraîcheur immobile de mon ombre.
Mais je ne puis guérir d’un appel insensé.
(André Frénaud)
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Posted by arbrealettres sur 29 juin 2015
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