Des oiseaux encore immobiles sur un pré (Georges Bonnet)
Posted by arbrealettres sur 18 février 2017

Des oiseaux encore immobiles
sur un pré
Leur ressemblance
Des frissons éperdus
à la surface d’une mare
La douceur du soir comme un châle
Le gris tendre de septembre
sous un ciel obéissant
(Georges Bonnet)
Illustration
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This entry was posted on 18 février 2017 à 7:37 and is filed under poésie.
Tagué: (Georges Bonnet), éperdu, châle, ciel, douceur, frisson, gris, immobile, maré, obéissant, oiseau, pré, ressemblance, soir, surface, tendre. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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escreversonhar said
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