Source (François Cheng)
Posted by arbrealettres sur 4 juillet 2017
Posted by arbrealettres sur 4 juillet 2017
Source sourde à nos souillures
Sourde même à nos complaintes
Ourlant le sol de ses bulles
De ses billes et frisottis
Parant l’azur de nuées
Et le val d’éclats de pluie
Sourdant coulant le temps nu
Muant tous cris en mélodie
(François Cheng)
This entry was posted on 4 juillet 2017 à 8:22 and is filed under poésie. Tagué: (François Cheng), azur, bille, bulle, complainte, cri, frisottis, mélodie, muer, nuées, ourler, parer, pluie, sol, souillure, source, sourde, temps, val. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, ou trackback from your own site.
Harmony said
Un filet d’eau comme simple cascade calme notre esprit et apaise notre corps.On n’écoute plus que le bruit de l’eau et la paix revient provisoirement en nous.C’est la zénitude. 😉
arbrealettres said
Oui ce sont nos racines Terrestres, la Nature est notre « seconde Nature » on a beau « la chasser » elle ne peut que revenir sans elle nous sommes coupés de notre MERE!!! ((-: