De ma persienne (Auguste Bonel)
Posted by arbrealettres sur 26 décembre 2017

De ma persienne
hublot du cri séculaire
je regarde la rue foisonner d’odeurs
de mouvements où sautille l’abîme
en frénésie de revenant
douloureuse fraternité
que de se regarder
dans le mouvement des passants
comme une sensation extraite
de son propre corps
(Auguste Bonel)
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This entry was posted on 26 décembre 2017 à 10:25 and is filed under poésie.
Tagué: (Auguste Bonel), abîme, corps, cri, douloureuse, extraite, foisonner, frénésie, hublot, mouvement, odeur, passant, persienne, regarder, revenant, sautiller, sensation. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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