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Posted by arbrealettres sur 26 janvier 2018
Par le puissant souffle du vent
Sur la blanche rosée,
Dans les champs de l’automne,
Comme sont dispersés les joyaux
Que ne retiennent aucun cordon?
(Bunya no Asayasu)
This entry was posted on 26 janvier 2018 à 4:32 and is filed under haïku, poésie. Tagué: (Bunya no Asayasu), automne, champ, cordon, dispersé, joyau, puissant, retenir, rosée, souffle, vent. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, ou trackback from your own site.
Besnard Jean-Baptiste said
Comme Rimbaud coloriait les voyelles, je me suis amus& à le f
Besnard Jean-Baptiste said
Comme Rimbaud avait coloré les voyelles, je me suis amusé à le faire avec le vent :
Vents colorés
Le vent d’ouest vagabonde,
Vert au milieu des herbes,
Puis rôde autour des gerbes
Qui lui font la chair blonde.
Il souffle sur les ondes,
Bleu en frôlant les vagues,
Plus sombre en eaux profondes,
En agitant les algues.
Le vent mène sa ronde,
Rouge du sang des guerres,
Quand j’avais cru naguère
A la paix dans le monde.
Ecole Normale de Versailles Octobre 1951
arbrealettres said
Le Vent Zphyr aimerait choisir le blanc: pas d’ire pas de sang seulement un Soupir fort et lent sur le Grand Pissenlit du Monde parpillant des graines de Posie…
LOL!
Ch 🙂 Blog de Posie:https://arbrealettres.wordpress.com Index: http://pagesperso-orange.fr/coolcookie/poesie/index.html Blog de Photos:http://arbreaphotos.wordpress.com
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leventquisouffle said
A reblogué ceci sur Le vent qui souffle.