Vingt huit novembre mil neuf cent quarante-six (Paul Eluard)
Posted by arbrealettres sur 5 août 2018
Posted by arbrealettres sur 5 août 2018
Vingt huit novembre mil neuf cent quarante-six (mort de Nusch)
Nous ne vieillirons pas ensemble.
Voici le jour
En trop : le temps déborde.
Mon amour si léger prend le poids d’un supplice.
(Paul Eluard)
This entry was posted on 5 août 2018 à 8:36 and is filed under poésie. Tagué: (Paul Eluard), amour, déborder, ensemble, léger, poids, supplice, temps, vieillir. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, ou trackback from your own site.
Luciole said
Puis :
« Tu es venue le feu s’est alors ranimé
L’ombre a cédé le froid d’en bas s’est étoilé
Et la terre s’est recouverte
De ta chair claire et je me suis senti léger
Tu es venue la solitude était vaincue
…
Et j’adorais l’amour comme à mes premiers jours. »
Paul Eluard
arbrealettres said
Magnifique!😊
Merci Luciole Paul pour cette bouffée d’Amour extra ordinairement Poétique 😇
Luciole said
Remercier surtout Paul Eluard.
arbrealettres said
Passer ce Souffle …