Quelle horreur (Patrizia Cavalli)
Posted by arbrealettres sur 15 novembre 2018

Quelle horreur d’imaginer deux corps
qui font l’amour en proie au besoin
que quelque chose se passe
s’accomplisse et puis effilochés
par une satisfaction se recomposent
dans leur apparence.
Je préfère ce mètre de distance
où je voyais l’éternelle mer nuiteuse
calme silencieuse.
(Patrizia Cavalli)
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This entry was posted on 15 novembre 2018 à 9:06 and is filed under méditations, poésie.
Tagué: (Patrizia Cavalli), amour, apparence, éternelle, besoin, calme, corps, distance, effiloché, horreur, imaginer, mer, s'accomplir, satisfaction, se recomposer, silencieuse. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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Pandora said
Beaucoup aimé ! tout simplement vrai.
arbrealettres said
Tant mieux! 🙂