Lorsqu’on tue l’abeille (Guillevic)
Posted by arbrealettres sur 16 mai 2019

Lorsqu’on tue l’abeille,
Vient aussitôt la peur
Que s’écroule
Ou que s’écoule un monde
Tangentiel au nôtre
Ou l’englobant.
(Guillevic)
Posted by arbrealettres sur 16 mai 2019
Lorsqu’on tue l’abeille,
Vient aussitôt la peur
Que s’écroule
Ou que s’écoule un monde
Tangentiel au nôtre
Ou l’englobant.
(Guillevic)
This entry was posted on 16 mai 2019 à 2:33 and is filed under poésie. Tagué: (Guillevic), abeille, englober, monde, nôtre, peur, s'écouler, s'écrouler, tangentiel, tuer. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, ou trackback from your own site.
brindille33 said
Bonjour poète,
Comme il a bien écrit cela. Le jour où…. j’aurai le temps d’écrire ma belle expérience des abeilles avec la grand-mère de mon fils. Ce fut passionnant. Bisous. Geneviève
arbrealettres said
Bonjour Geneviève
Suis en Equateur😉😇
Bises 🌞🙋♂️