Les vieilles maisons sont toutes voûtées (Charles-Ferdinand Ramuz)
Posted by arbrealettres sur 3 septembre 2019

Les vieilles maisons sont toutes voûtées,
Elles sont comme des grand’mères
Qui se tiennent assises, les mains sur les genoux,
Parce qu’elles ont trop travaillé dans leur vie…
(Charles-Ferdinand Ramuz)
Illustration
WordPress:
J’aime chargement…
Articles similaires
This entry was posted on 3 septembre 2019 à 11:50 and is filed under poésie.
Tagué: (Charles-Ferdinand Ramuz), assis, genoux, grand-mère, main, maison, travailler, vie, vieux, voûte. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
You can leave a response, ou trackback from your own site.
Les vieilles maisons sont toutes voûtées (Charles-Ferdinand Ramuz) — Arbrealettres – Poésie 958 said
[…] via Les vieilles maisons sont toutes voûtées (Charles-Ferdinand Ramuz) — Arbrealettres […]