« Enfin te voilà, je t’attendais » (Alain Eludut)
Posted by arbrealettres sur 8 janvier 2020

« Enfin te voilà, je t’attendais »
Au petit matin les murs se lézardent
– rien de ce qui tremble ne m’indiffère
Je sens les vibrations les secousses
j’attends la marque du divin
quelque chose comme « Enfin te voilà, je t’attendais ».
(Alain Eludut)
Illustration: Gregg Chadwick
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This entry was posted on 8 janvier 2020 à 9:14 and is filed under poésie.
Tagué: (Alain Eludut), attendre, divin, enfin, indifférer, lézarder, matin, quelque chose, secousse, trembler, vibration. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed.
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