Seul le désir est resté jeune (Werner Lambersy)
Posted by arbrealettres sur 8 juillet 2020
Seul le désir est resté jeune
Sans réfléchir
Ni au comment ni au pourquoi
Mais il descend de plus en plus
Dans la mine
Du corps où épuiser à coups de
Pic le filon d’anthracite
Dont la salamandre des chairs
A tant besoin
Comme aux confins
De l’espace ces constellations
Dont nous n’avons plus
Que la lumière froide
Et la courbe pure de l’horizon
(Werner Lambersy)
Qu'est-ce que ça vous inspire ?