Gisants (Michel Deguy)
Posted by arbrealettres sur 15 mai 2022
Gisants
Je ne cesse de te perdre depuis cette chambre d’hôtel
Où nue et détournée tu m’as crié va-t’en
Je ne me rappelle plus notre querelle, ma faute
Mais le papier, ton dos courbe,
La nature morte du jour et de l’armoire,
Et ma croyance indolore debout que j’allais te revoir
(Michel Deguy)
elba2 said
étranges ces corps flottants…
c bête ici on n’est pas avisé des nouveaux articles
biz bon w-e
arbrealettres said
si si je pense mais je n’ai pas essayé par le lien RSS oh tu sais ici il y a toujours de nouveaux articles!! lol!!!
Biz Bon wk
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Lara said
J’aime beaucoup Michel Deguy Il a fait beaucoup de recherches linguistiques
ce poeme est superbe !
arbrealettres said
… mais parfois je passe beaucoup de temps à trouver une illustration!! étonnante celle-ci mais bon un peu hors sujet!
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yayamarieke said
Corps et gros champignons flottants, ça n’a pas l’air de bien sentir… heureusement qu’on ne cessera de ne plus la ressentir. : -))
arbrealettres said
oui ENFIN ne plus re-sentir!! lol!!
🙂
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