Ô plus j’ai la haine
Ô plus ils me font de la peine
Ce n’est pas un drame
Si je ne fais plus la fête (fais plus la fête)
Lous, es-tu sereine
Ou fais-tu juste la guerre?
La vie est une chienne qu’il faut tenir en laisse
Vivre me hante
Tout ce qui m’entoure m’a rendu méchante
Si je rate, je recommence
Quand je suis triste, je chante
Ne jamais tout donner de moi
Dans ce monde c’est le diable qui est roi
Elles me disent que j’ai la poisse
« Blague à part » devient « Lous à part »
Seule, seule, seule
Si je pouvais je vivrais seule
Loin des problèmes et des dilemmes
Na na na na na
Si je pouvais je vivrais seule
Loin de mes chaines et des gens que j’aime
Na na na na
Si je pouvais je vivrais seule
Loin des problèmes et des dilemmes
Na na na na na
Si je pouvais je vivrais seule…
Rien n’est à sa place.
Mais un jour quelconque
subitement tout est à sa place.
Alors nous comprenons :
ne pas être à sa place
est précisément la façon
d’être à sa place.
Il se peut que le dilemme n’existe pas :
le point de repère manque
pour qu’une chose soit ou ne soit pas à sa place.
Y aurait-il quelque part
un espace dont l’intensité
serait capable d’héberger
ce point de repère
qui n’a pas de place ?
***
Nada está en su lugar.
Pero un día cualquiera
de pronto todo está en su lugar.
Entonces comprendemos:
no estar en su lugar
es justamente el modo
de estar en su lugar.
Pero quizá el dilema no exista:
falta et punto de referencia
para que algo esté o no esté en su lugar.
¿Habrá en alguna parte
un espacio tan intenso
como para poder albergar
ese punto de referencia
que no tiene lugar?