Posts Tagged ‘écroulé’
Posted by arbrealettres sur 3 novembre 2021

Il n’y avait que le silence
Derrière chaque mot volé;
La route expirait dans les pierres
Entre les murs écroulés.
Et pourtant le dernier poète
Tendait l’oreille vers la mer
Et cherchait encore à saisir
L’insaisissable oiseau
de la parole.
(Jean Rousselot)
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Posted by arbrealettres sur 2 mars 2020
Calme plat
Certes
une ruine est une ruine
mais y a-t-il silence pire
que celui qui survole
un théâtre écroulé?
(Michel Leiris)
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Posted by arbrealettres sur 27 décembre 2019

Il n’y avait que le silence
Derrière chaque mot volé
La route expirait dans les pierres
Entre les murs écroulés
Et pourtant le dernier poète
Tendait l’oreille vers la mer
Et cherchait encore à saisir
L’insaisissable oiseau de la parole.
(Jean Rousselot)
Illustration: ArbreaPhotos
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Posted by arbrealettres sur 12 octobre 2019

Il n’y avait que le silence
Derrière chaque mot volé ;
La route expirait dans les pierres
Entre les murs écroulés.
Et pourtant le dernier poète
Tendait l’oreille vers la mer
Et cherchait encore à saisir
L’insaisissable oiseau de la parole.
(Jean Rousselot)
Illustration: Chantal Dufour
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Posted by arbrealettres sur 9 juillet 2018

A présent je viens je vais là-bas
ça va être long
toutes ces pages à vivre
comme à travers une nuée de papillons
et tout ce qui se perd dans la fumée
de cigarettes au bord d’un cendrier
ou près d’un feu de bois
qui s’est éteint sur un chemin
où personne ne passe plus
mais qui garde en ses pierres
la mémoire du bois mort
et des murs écroulés
les méandres du passé
ce que la main peut contenir
de mémoire et d’extase
de moments hors du temps
d’horizons intérieurs
de papillons bleus des origines
ou des lacs noirs de la détresse
(Yves Artufel)
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Posted by arbrealettres sur 20 juin 2018
Recueil: Somnambule du jour Poèmes choisis
Traduction:
Editions: Gallimard
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Posted by arbrealettres sur 10 décembre 2017
![Heinz Geiringer x [1280x768]](https://arbrealettres.files.wordpress.com/2013/11/heinz-geiringer-x-1280x768.jpg?w=828&h=661)
Il n’y a plus que toi et moi dans la mansarde
Mon père
Les murs sont écroulés
La chair s’est écoulée
Des gravats de ciel bleu tombent de tous côtés
(René Guy Cadou)
Illustration: Heinz Geiringer
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Posted by arbrealettres sur 25 octobre 2017

Nos habitudes des grands échafaudages de poutrelles et de planches
Ici il y a l’indéterminé
Toute la misère éclatante
Des pans entiers écroulés du sommeil
Des lézardes et des rigoles de boue glacée
Et des paroles haletantes qui se maintiennent
Comme des feux follets
Comme la prescience de nos cris de haine
Ici il y a le tabernacle du mépris
Et nos vies somnambuliques
Nos yeux hagards et révulsés
Nos habitudes des grands échafaudages de poutrelles et de planches
Ici il y a les glaciers infranchissables
Du sarcasme et de la folie
Ici il n’y a rien qui soit au monde
(Jacques Prevel)
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Posted by arbrealettres sur 21 août 2016

REFAIRE LA NUIT
Il n’y avait que le silence
Derrière chaque mot volé
La route expirait sous le lierre
Entre les musées écroulés
Et pourtant le dernier poète
Tendait l’oreille vers la mer
Et cherchait encore à saisir
L’insaisissable oiseau de la parole.
(Jean Rousselot)
Illustration
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Posted by arbrealettres sur 15 janvier 2016

Tout en moi répond au vent
[…]
Tout plie sous l’injonction qui assemble:
Les cheveux comme un champ plus dense
Le dos pareil aux troncs, les yeux dessillés sous le sel
Les jambes écroulées dans les pierres
Et la manducation au bruit de la charrette; tout
Sauf la voix étonnée de sa dissemblance.
(Michel Deguy)
Illustration
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