Posts Tagged ‘épitaphe’
Posted by arbrealettres sur 15 mai 2022
![great-sphinx [1280x768]](https://arbrealettres.files.wordpress.com/2013/10/great-sphinx-1280x768.jpg?w=887&h=665)
ÉPITAPHE
Que la terre lui soit légère
Qui garde ses racines mais lui a pris
La tige où se haussaient la fleur et la semence.
Il n’est de lourd
Sur lui que le plafond du ciel immense
Dont chaque étoile était, comme les yeux du sphinx,
Une insondable énigme.
(Franz Hellens)
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Posted in poésie | Tagué: (Franz Hellens), énigme, épitaphe, étoile, ciel, fleur, garder, immense, insondable, légère, lourd, plafond, racines, semence, Sphinx, terre, tige, yeux | Leave a Comment »
Posted by arbrealettres sur 29 mars 2022

Épitaphe
A peu que le cœur ne m’en crève
Quand j’en parle ou quand j’écris :
C’est Belaud mon petit chat gris
Belaud qui fut par aventure
Le plus bel œuvre que Nature
Fit onc en matière de chats.
(Joachim Du Bellay)
Recueil: le chat en cent poèmes
Traduction:
Editions: Omnibus
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Posted in poésie | Tagué: (Joachim du Bellay), aventure, écrire, épitaphe, chat, coeur, crever, gris, nature, oeuvre, onc, parler, petit | Leave a Comment »
Posted by arbrealettres sur 24 mars 2022
![drapeau [800x600]](https://arbrealettres.files.wordpress.com/2015/01/drapeau-800x600.jpg?w=461&h=728)
Le sabre
Une oeuvre d’art, la poignée
De ce sabre fier.
Comme on embellit le crime!
***
Le quart
Quart en forme de sébile.
Piètre insigne
Des mendiants de la gloire.
***
Progrès
On tue à distance.
Plus de mains sanglantes.
La guerre est très propre.
***
Reportage
Le moribond criait: Maman!
De l’arrière, le journaliste
A entendu: Vive la France!
***
Testament
De sa poitrine déchirée
Sortit, en guise d’âme,
Un portrait de fillette blonde.
***
Cimetière
Petite croix. Epitaphe.
Ci-gît le soldat Gribouille.
Il mourut pour vivre libre.
***
L’emblème
Saluez bas ce drapeau.
On en fit l’emplette
L’autre jour dans mon bazar.
(Marc-Adolphe Guégan)
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Posted in haïku, poésie | Tagué: (Marc-Adolphe Guégan), épitaphe, bazar, blond, crime, distance, drapeau, embellir, emplette, fillette, France, gloire, guerre, insigne, libre, maman, mendiant, moribond, mourir, oeuvre, piètre, poignée, poitrine, progrès, propre, quart, sabre, saluer, sanglant, sébile, soldat, tuer, vivre | Leave a Comment »
Posted by arbrealettres sur 26 juillet 2021
Quand je remettrai mon ardoise au néant
un de ces prochains jours,
il ne me ricanera pas à la gueule.
Mes chiffres ne sont pas faux,
ils font un pur zéro.
Viens mon fils, dira-t-il de ses dents froides,
dans le sein dont tu es digne.
Je m’étendrai dans sa douceur.
(André Frénaud)
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Posted in poésie | Tagué: (André Frénaud), ardoise, épitaphe, chiffre, digne, douceur, faux, fils, néant, remettre, ricaner, s'étendre, sein | 3 Comments »
Posted by arbrealettres sur 2 février 2021

ÉPITAPHE
Ils moururent de l’épidémie, les meilleurs : les uns,
la peste les emporta; d’autres, la grippe que l’on
appela espagnole ; et il y eut ceux de la
danse de Saint-Guy ; ceux de la lèpre, ceux de la
phtisie, galopante ou non. Et cela, quand
ils ne se tiraient pas un coup de feu dans la tête, ne se
pendaient pas à un réverbère, ne se jetaient pas
dans le fleuve. Il y eut encore ceux qui cessèrent
d’écrire; ceux qui burent jusqu’à perdre
la raison ; ceux qui, purement et simplement,
renoncèrent sans explication. Comme si
la vie dépendait de si peu —
des lignes griffonnées sur du papier brouillon,
des phrases qui pouvaient rimer ou non,
des pensées… qu’ils auraient pu
garder pour eux-mêmes. Cependant,
quand je les lis, je comprends leur
désespoir. La beauté n’apparaît pas
tous les jours aux yeux d’un homme;
la perfection ne paraît pas toujours
une chose de ce monde. Oui :
je monte les escaliers jusqu’en haut,
d’où l’on voit la ville, bien que
le temps soit à la tempête. Que
se passe-t-il, en cet instant, sous
ces toits ? Quelle épidémie, plus
subtile, saisit au sol ceux qui,
naguère encore, rêvaient de s’envoler?
(Nuno Jùdice)
Recueil: Un chant dans l’épaisseur du temps suivi de méditation sur des ruines
Traduction: Michel Chandeigne
Editions: Gallimard
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Posted in poésie | Tagué: (Nuno Judice), apparaître, écrire, épidémie, épitaphe, beauté, boire, brouillon, comprendre, coup de feu, danse, dépendre, désespoir, emporter, en haut, escalier, explication, fleuve, garder, griffoner, grippe, homme, lèpre, ligne, lire, monter, mourir, papier, paraître, pensée, perdre, perfection, peste, phrase, phtisie, raison, réverbère, rêver, renoncer, rimer, s'envoler, saisir, se jeter, se pendre, sol, subtile, tempête, toit, toujours, vie, ville, yeux | Leave a Comment »
Posted by arbrealettres sur 24 juin 2020

MENHIR
Tout est bien de ce qui est
Tout est bien de ce qui sera
J’ai vécu mes journées
Viendra ma nuit
La mort ailleurs continue les songes de la vie
Le soleil ne se lasse de caresser la stèle funéraire
Sans que la terre en tire ombrage
Et les pluies adoucissent la rigueur ossuaire
Tout ce qu’il est possible d’aimer
Je l’ai aimé
J’ai fait aller le mythe avec la théologie
Et le rêve toujours épousa ma raison
Ainsi par les chemins d’Argol
La pierraille chante avec l’ancolie
Menhir
Je veux une mort verticale
Parmi les ronces paysannes
Que nul féalement ne grave mon nom
Nulle épitaphe sur la pierre
Nulle dédicace au granit
Menhir
Je veux seulement des vocables de lichen
Et la jaune écriture que silencieusement burinent
Les bruines hivernales et les vents d’océan.
(Xavier Grall)
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Posted in poésie | Tagué: (Xavier Grall), adoucir, aimer, ancolie, écriture, épitaphe, bruine, buriner, chanter, chemin, graver, jaune, journée, lichen, menhir, mort, mythe, nom, nuit, océan, pierraille, pluie, rigueur, silencieusement, songe, stèle, vent, vertical, vivre, vocable | 2 Comments »
Posted by arbrealettres sur 19 juin 2020

Jean Tardieu
(Recueil Jours pétrifiés)
Jour nuit soleil et arbres
Certains mots sont tellement élimés, distendus, que ‘l’on peut voir le jour au travers.
Immenses lieux communs, légers comme des nappes de brouillard – par cela même difficile à manœuvrer.
Mais ces hautes figures vidées, termes interchangeables, déjà près de passer dans le camp des signes algébriques,
ne prenant un sens que par leur place et leur fonction, semblent propres à des combinaisons précises
chaque fois que l’esprit touche au mystère de l’apparition et de l’évanouissement des objets.
I
Est-ce pour moi ce jour ces tremblantes prairies
ce soleil dans les yeux ce gravier encore chaud
ces volets agités par le vent, cette pluie
sur les feuilles, ce mur sans drame, cet oiseau ?
II
L’esprit porté vers le bruit de la mer
que je ne peux entendre
ou bien vers cet espace interdit aux étoiles
dont je garde le souvenir
je rencontre la voix la chaleur
l’odeur des arbres surprenants
j’embrasse un corps mystérieux
je serre les mains des amis
III
De quelle vie et de quel monde ont-ils parlé ?
– De jours pleins de soleil où nous nous avançons,
d’espace qui résiste à peine à nos mains et de nuits
que n’épaissira plus l’obscurité légère.
IV
Entre les murs un visage survint
qui se donnait le devoir de sourire
et m’entraîna vers une autre fenêtre
d’où le nuage à ce moment sortait.
Tout était lourd d’un orage secret
un homme en bleu sur le seuil s’avançait
le tonnerre éclata dans ma poitrine
un chien les oreilles basses
rentrait à reculons.
V
Mémoire
Et l’ombre encor tournait autour des arbres
et le soleil perdait ses larges feuilles
et l’étendue le temps engloutissait
et j’étais là je regardais.
VI
Je dissipe un bien que j’ignore
je me repais d’un inconnu
je ne sais pas quel est ce jour ni comment faire
pour être admis.
VII
Comme alors le soleil (il était dans la nuit
il roule il apparaît avec silence
avec amour, gardant pour lui l’horreur)
ainsi viendront les jours du tonnerre enchaîné
ainsi les monstres souriants ainsi les arbres
les bras ouverts, ainsi les derniers criminels
ainsi
la joie.
VIII
Quand la nuit de mon coeur descendra dans mes mains
et de mes mains dans l’eau qui baigne toutes choses
ayant plongé je remonterai nu
dans toutes les images :
un mot pour chaque feuille un geste pour chaque ombre
« c’est moi je vous entends c’est moi qui vous connais
et c’est moi qui vous change. »
IX
Je n’attends pas un dieu plus pur que le jour même
il monte je le vois ma vie est dans ses mains :
la terre qui s’étend sous les arbres que j’aime
prolonge dans le ciel les fleuves les chemins…
Je pars j’ai cent mille ans pour cet heureux voyage.
X
Epitaphe
Pour briser le lien du jour et des saisons
pour savoir quelle était cette voix inconnue
sur le pont du soleil à l’écart de ma vie
je me suis arrêté.
Et les fleuves ont fui, l’ombre s’est reconnue
espace les yeux blancs j’écoute et parle encore
je me souviens de tout même d’avoir été.
(Jean Tardieu)
Recueil: Jean Tardieu Un poète
Traduction:
Editions: Gallimard Jeunesse
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Posted in poésie | Tagué: (Jean Tardieu), admettre, agiter, aimer, algébrique, ami, amour, apparaître, apparition, arbre, attendre, au travers, autour, avancer, à peine, écart, éclater, écouter, élimer, épaissir, épitaphe, étendue, étoile, évanouissement, être, baigner, bas, bien, blanc, bleu, bras, briser, brouillard, bruit, camp, chaleur, changer, chaud, chemin, chien, ciel, coeur, combinaison, comment, connaître, corps, criminel, dernier, descendre, devoir, Dieu, difficile, dissiper, distendre, drame, eau, embrasser, enchaîner, encore, engloutir, entendre, entraîner, espace, esprit, faire, fenêtre, feuille, figure, fleuve, fonction, fuir, garder, geste, gravier, haut, heureux, homme, horreur, ignorer, image, immense, inconnu, interchangeable, interdit, joie, jour, large, léger, lien, lieu commun, lourd, main, manoeuvrer, mémoire, mer, moment, monde, monstre, monter, mot, mur, mystère, mystérieux, nappe, nu, nuage, nuit, objet, obscurité, odeur, oiseau, ombre, orage, oreille, ouvrir, parler, partir, passer, pétrifier, perdre, place, plein, plonger, pluie, poitrine, pont, porter, prairie, précis, prendre, prolonger, propre, pur, résister, reconnaître, regarder, remonter, rencontrer, rouler, s'arrêter, s'avancer, saison, savoir, se donner, se repaître, se souvenir, secret, sens, serrer, seuil, signe, silence, soleil, sortir, souriant, sourire, souvenir, surprendre, survenir, temps, terme, terre, tonnerre, toucher, tourner, tout, trembler, venir, vent, vider, vie, visage, voir, voix, volet, voyage, yeux | 1 Comment »
Posted by arbrealettres sur 23 février 2020

Illustration: Ernest Biéler
Épitaphe d’une jeune fille
Son âge échappait à l’enfance ;
Riante comme l’innocence,
Elle avait les traits de l’Amour.
Quelques mois, quelques jours encore,
Dans ce cœur pur et sans détour
Le sentiment allait éclore.
Mais le ciel avait au trépas
Condamné ses jeunes appas.
Au ciel elle a rendu sa vie,
Et doucement s’est endormie
Sans murmurer contre ses lois.
Ainsi le sourire s’efface ;
Ainsi meurt, sans laisser de trace,
Le chant d’un oiseau dans le bois.
(Évariste de Parny)
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Posted in poésie | Tagué: (Evariste de Parny), amour, appas, âge, éclore, épitaphe, bois, chant, ciel, coeur, condamner, détour, doucement, enfance, innocence, jeune, jeune fille, jour, laisser, Loi, mois, mourir, murmurer, oiseau, pur, rire, s'échapper, s'effacer, s'endormir, sentiment, sourire, trace, traits, trépas | Leave a Comment »
Posted by arbrealettres sur 31 janvier 2019

Epitaphe
Dans le faubourg qui monte au cimetière,
Passant rêveur, j’ai souvent observé
Les croix de bois et les tombeaux de pierre
Attendant là qu’un nom y fût gravé.
Tu m’es ravie, enfant, et la nuit tombe
Dans ma pauvre âme où l’espoir s’amoindrit ;
Mais sur mon coeur, comme sur une tombe,
C’est pour toujours que ton nom est écrit.
(François Coppée)
Illustration
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Posted in poésie | Tagué: (François Coppée), attendre, écrire, épitaphe, cimetière, coeur, croix, enfant, espoir, faubourg, nom, passant, ravie, rêveur, s'amoindrir, tombeau, toujours | Leave a Comment »
Posted by arbrealettres sur 30 décembre 2018
Epitaphe
Il naquit,
Il fut toujours seul
Parmi tant de monde ;
Avec tant de mots
Il se tut;
Puis il mourut, il prit congé du soleil.
***
Epitafio
Nacque ;
Fu sempre solo
Tra tanta gente ;
In molte parole
Tacque ;
Indi mori, s’accomiato dal Sole.
(Tommaso Landolfi)
Illustration: Vincent Van Gogh
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Jour nuit soleil et arbres (Jean Tardieu)
Posted by arbrealettres sur 19 juin 2020
Jean Tardieu
(Recueil Jours pétrifiés)
Jour nuit soleil et arbres
Certains mots sont tellement élimés, distendus, que ‘l’on peut voir le jour au travers.
Immenses lieux communs, légers comme des nappes de brouillard – par cela même difficile à manœuvrer.
Mais ces hautes figures vidées, termes interchangeables, déjà près de passer dans le camp des signes algébriques,
ne prenant un sens que par leur place et leur fonction, semblent propres à des combinaisons précises
chaque fois que l’esprit touche au mystère de l’apparition et de l’évanouissement des objets.
I
Est-ce pour moi ce jour ces tremblantes prairies
ce soleil dans les yeux ce gravier encore chaud
ces volets agités par le vent, cette pluie
sur les feuilles, ce mur sans drame, cet oiseau ?
II
L’esprit porté vers le bruit de la mer
que je ne peux entendre
ou bien vers cet espace interdit aux étoiles
dont je garde le souvenir
je rencontre la voix la chaleur
l’odeur des arbres surprenants
j’embrasse un corps mystérieux
je serre les mains des amis
III
De quelle vie et de quel monde ont-ils parlé ?
– De jours pleins de soleil où nous nous avançons,
d’espace qui résiste à peine à nos mains et de nuits
que n’épaissira plus l’obscurité légère.
IV
Entre les murs un visage survint
qui se donnait le devoir de sourire
et m’entraîna vers une autre fenêtre
d’où le nuage à ce moment sortait.
Tout était lourd d’un orage secret
un homme en bleu sur le seuil s’avançait
le tonnerre éclata dans ma poitrine
un chien les oreilles basses
rentrait à reculons.
V
Mémoire
Et l’ombre encor tournait autour des arbres
et le soleil perdait ses larges feuilles
et l’étendue le temps engloutissait
et j’étais là je regardais.
VI
Je dissipe un bien que j’ignore
je me repais d’un inconnu
je ne sais pas quel est ce jour ni comment faire
pour être admis.
VII
Comme alors le soleil (il était dans la nuit
il roule il apparaît avec silence
avec amour, gardant pour lui l’horreur)
ainsi viendront les jours du tonnerre enchaîné
ainsi les monstres souriants ainsi les arbres
les bras ouverts, ainsi les derniers criminels
ainsi
la joie.
VIII
Quand la nuit de mon coeur descendra dans mes mains
et de mes mains dans l’eau qui baigne toutes choses
ayant plongé je remonterai nu
dans toutes les images :
un mot pour chaque feuille un geste pour chaque ombre
« c’est moi je vous entends c’est moi qui vous connais
et c’est moi qui vous change. »
IX
Je n’attends pas un dieu plus pur que le jour même
il monte je le vois ma vie est dans ses mains :
la terre qui s’étend sous les arbres que j’aime
prolonge dans le ciel les fleuves les chemins…
Je pars j’ai cent mille ans pour cet heureux voyage.
X
Epitaphe
Pour briser le lien du jour et des saisons
pour savoir quelle était cette voix inconnue
sur le pont du soleil à l’écart de ma vie
je me suis arrêté.
Et les fleuves ont fui, l’ombre s’est reconnue
espace les yeux blancs j’écoute et parle encore
je me souviens de tout même d’avoir été.
(Jean Tardieu)
Traduction:
Editions: Gallimard Jeunesse
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