Un moine demanda un jour à maître Fêng Hsüeh:
« La parole altère la transcendance (de la Réalité),
et le silence altère la manifestation.
Comment combiner parole et silence sans altérer la Réalité? »
Le maître répondit:
« Je me souviendrai toujours du paysage printanier que je vis un jour dans le Chiang Nan.
Les perdrix gloussaient parmi les fleurs parfumées, alors dans leur éclat! »
(Fêng Hsüeh)