Comme deux orphelines nous allons déjeuner
nous prenons le thé nous donnons des baisers.
On dirait un jardin d’enfants, une colonie de vacances
mais on ne se distrait jamais assez
pour oublier son gros cul de maman.
(Patrizia Cavalli)
Posted by arbrealettres sur 16 juillet 2022
Comme deux orphelines nous allons déjeuner
nous prenons le thé nous donnons des baisers.
On dirait un jardin d’enfants, une colonie de vacances
mais on ne se distrait jamais assez
pour oublier son gros cul de maman.
(Patrizia Cavalli)
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Posted by arbrealettres sur 8 janvier 2020
Mieux vaut mourir léger,
sans propriétés,
car lorsqu’on est propriétaire
ça fait un bail qu’on est mort.
(Patrizia Cavalli)
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Posted by arbrealettres sur 29 décembre 2019
Je me rends
Dooonnng!
Ca brille.
Faste.
Silence.
Ainsi le jour.
Me rejette au-dedans.
Entre le parfum
qui est dedans
et la lumière
qui est dehors
vole vole vole je tombe.
Je me rends.
(Patrizia Cavalli)
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Posted by arbrealettres sur 29 décembre 2019
J’entends courir mon sang vers le salut
Rien qu’à entendre un verbe
qui me semble vrai
j’entends courir mon sang
vers le salut. C’est comme rentrer chez soi
et retrouver une charitable fraîcheur de draps.
(Patrizia Cavalli)
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Posted by arbrealettres sur 29 décembre 2019
Baguenaude en quête de baisers
Cette baguenaude en quête de baisers
qui prolonge les visites et jamais ne conclut
et puis s’échine à inventer des excuses,
ma spécialité, ma spécialité.
Hors de moi en amour,
de moi-même exclue,
nécessité rapide,
c’est ça le salut.
(Patrizia Cavalli)
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Posted by arbrealettres sur 10 août 2019
Tous ces adieux avant de partir!
Ca va être dur de mourir!
(Patrizia Cavalli)
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Posted by arbrealettres sur 10 janvier 2019
Mon amour
Je pense que forcément à force de penser à toi
j’arriverai à t’oublier, mon amour.
(Patrizia Cavalli)
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Posted by arbrealettres sur 3 janvier 2019
Comme à tant de mes chaussettes
il ne tient plus, l’élastique, à mon coeur,
il cède et me découvre, j’ai froid.
(Patrizia Cavalli)
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Posted by arbrealettres sur 3 janvier 2019
Eh arrête chaise d’être aussi chaise!
Et vous, livres, ne soyez pas si livres!
(Patrizia Cavalli)
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