La colline soudain n’était plus un don (Georges Bonnet)
Posted by arbrealettres sur 16 février 2017
La colline soudain n’était plus un don
Un sentier s’épuisait dans les hautes herbes
Net et précis était le ciel
fermé sur son histoire
Une femme passait
Un rêve fou s’en allait avec elle
Les mots perdaient leur fontaine
Les vents leur destin
Il n’y avait personne pour ouvrir les bras.
(Georges Bonnet)
Illustration: Helena Sofia Schjerfbeck
This entry was posted on 16 février 2017 à 7:55 and is filed under poésie.
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